J'ai retrouvé ma p'tite chanson perdue Assise sur ma chaise En équilibre se tenait la clef de sol Sur son genou dodu Do répétait de sa hanche à son cou Et faisait du trapèze J'ai remonté jusqu'au creux de son bras Mi y était déjà
Sur sa cheville j'ai trouvé un bémol Qui riait comme un ange « Viens t'amuser et rejoins sur sa gorge Le mi qui dort debout » Où est le la ? Il est là voyons donc, Ah, si vous saviez où ! Il sort souvent de son diapason On comprend ça itou.
Maintenant que j'ai un coussin pour mon ré J'peux passer aux dièses Y'en a vingt-six comme des fils au buisson Des roux, des argentés J'en prends quatorze, j'y rajoute un bécarre Voyez l'accord que j'ai Et le point d'orgue, vous l'avez deviné, À cheval sur son nez.
Je croyais aussi qu'un couplet suffirait Mais le fa en colère Me dit : « Félix, une chanson sans fa Ça ne se fa plus guère » . Je l'ai posé sur le bout de ma langue Et mis dans son oreille Voilà qu'de mi j'ai dérangé l'sommeil Voilà le sol qui tremble.
Aidez-moi donc, je suis comme la flûte Qui ne peut plus déchanter. J'ai réveillé le peuple des septièmes Qui rêvent de vengeance. C'est plein de croches dans ce vaste clavier En bandes sortent les blanches J'ai bien trop peur de faire une symphonie…
La je finis ici Mi, reste où tue es Si tu veux voir les sphères Colle ton do au sol Ré apprends la musique Et c'est ce que je fa. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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