''- Tu entends le mensonge horrible? Cette perceuse qui prend ta tête comme cible? Mal profond du cœur aux veines Soudainement apparait le cancer de la haine Déblatérant, comme un chien enragé Cri comme un zélé, pauvre petite épave oisive Va voir les arbres s'endormir, là, au pré Sens-tu ta présence? L'harmonie vive? J'avais oublié, tu n'es plus là... Tu as tout perdu, même ta tête! L’a tu vue rouler, dans la colline de tes prés? - Je n'y vois rien, Je n'y vois rien - En avais-tu seulement une? - Oui, oui, seulement, j'ai oublié... - Fonds-toi dans la couleur de l'automne. De toute façon tu en prends déjà part. Parce que entre toi et moi... ... On s'entendra pour dire que tu es déjà mort... - Mes yeux sont grands ouverts mais mon cerveau est flou. J'en perds de plus en plus, mon état se détériore Par ces nuits d'angoisse, bercé par le sursaut des fous Le cœur troué, par l'anxiété qui le dévore.'' Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
|