L'acte de déchirer ma chair, le sang coulant. Comme si j'étais un être fou et immoral. Voir ma potence et le nœud coulant De mes pensées malsaines et virales. Vous me faites sentir comme la peste destructive Et je dois me supprimer pour vous sauver. Aucun remède ne semble bon Contre ma colère et ma tristesse.
Et il y a de ces matins comme des soirs, Des neiges qui fondent comme ma confiance: Je ne peux qu'être déçu par vous.
La lumière pénètre le seuil de ma demeure Sauf qu'elle ne m'apporte rien.
La pluie, le vent, fort. Grisaille, pareil dans ma tête.
Je n'espère plus rien.
Le corps couché, le regard morne, Je regarde les murs et je vois ma fin.
Cette lumière fade, triste mais belle N'est malheureusement pas celle que j'attendais.
Et j'ai pour derniers mots: tassez-vous les nuages, Pour que je puisse de bonne lumière emplir mes yeux.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.