Quelque chose déraille Du train des habitudes L'inévitable faille Le triangle des Bermudes L'amour est bien trop sage Mon visage grelotte La nuit, dans un mirage Un rêve m'enveloppe
Quand je ne comprends rien de rien de rien Ce n'est plus la peine De me tendre la main Le vide mе soutient Je ne dеmande rien de rien de rien Qu'un vent qui se déchaîne Qu'il fasse mal ou bien Le vide me soutient
Tout devient silence Et le monde s'éteint Vertige de l'innocence Je m'étourdis soudain La paupière pesante Des songes sous-marins Apaisent ma tourmente D'un baiser souverain
Et je ne comprends rien de rien de rien Ce n'est plus la peine De me tendre la main Le vide me soutient Je ne demande rien de rien de rien Qu'un vent qui se déchaîne Qu'il fasse mal ou bien Le vide me soutient
Et je ne comprends rien de rien de rien Ce n'est plus la peine De me tendre la main Le vide me soutient Je ne demande rien de rien de rien Qu'un vent qui se déchaîne Qu'il fasse mal ou bien Le vide me soutientTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.