Elles restent là. Au temple d'elles les prétresses imperiales Implorant et pleurantes, que je revienne Que je redevienne celler par qui brûle le soleil. Lassés Ils vivront au gré des désirs de l'homme. Qui fait la marrée. Moi, qui viens de l'oeil du pêre, Ne me dois plus rien voir. Lá déesse s'expose... à en vomir, des flots de supplices et mon propre cœur, Je te donne, mon grand précipice... Me va si bien.
Toi, par qui tout va fanir, Ne sens-tu pas le sang de lá sœur se tiedir? En silence, je danse enfin dans le noir. Cette guerre déicide Je suis fatiguée, mon frère. Laisse-moi m'en aller !
Fardeau, Gouffre. Mangeurs.Racines Les jeux d'enfants dieux n'amusent plus Reine.souffre Persiennes humides Jamais le silence n'a tant plu.
Toi, par qui tout va fanir, Ne sens-tu pas le sang de la sœur se tiedir? En silence, je danse enfin dans le noir. Cette guerre déicide Je suis fatiguée, mon frère. Laisse-moi m'en aller Mon frère
Pardonne Laisse-moi m'en aller, mon frère Laisse-moi m'en aller Toi par qui tout va périr Ne crois-tu pas le cœur de la sœur te punir? Pardonne. Cette guerre déicide Je suis fatiguée, mon frère Laisse-moi m'en aller.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.