En qualité de primate électrique Je vis sans but, je vais sans hic Au gré des sentiments, au gré du temps Puis de nulle part vient le printemps
C´est donc en vertu d´une fatigue soudaine Mélangée à la peine de l´esseulé Que ni le corps ni l´âme ne manifestent bien Le tout petit désir de vivre
J´ai attiré l´escouade technique Parce que dos aux briques j´ai exprimé D´une hauteur inquiétante pour qui ne sait voler Mon seul et cuisant chagrin d´amour
Les joues en rivière, les deux mains glacées Et tout le quartier au parterre pariant sur ma chute « Tombera-t-il au sol ou sur le cabriolet? » Qu´importe mais quitter ce monde laid
Je ne dois à personne mon coeur encore qui bat Qu´à une flamme bonne qui scintilla Cet instant fatidique avant le saut mortel Depuis Dieu m´intrigue et j´attends le printemps Aujourd´hui Dieu m´intrigue Et j´attends le printempsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.