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Divise entre deux mondes,
La solitude grandissante,
Et la vie immonde,
Misanthropie dégradante.

Je contemple cette triste misere,
Je ces yeux remplis de sombres visions,
Voici le temps d'une nouvelle ere,
Celle de la soumission ä l'auto-destruction.

Cerveau noyé par la propagande,
Négative et de rabaissement,
La blessure est si grande,
Comme une lame glissante sur un corps gémissant.

Que coule le sang de la délivrance,
Celui gui ruiselle dans les veines
De l'humain insignifiant et de la dégénérescence,
Que meure l´humain sans peine.

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