Derriere les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse Bienheureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'elancer vers les champs lumineux et sereins
Beaute monstrueuse et effrayante Que tu viennes de l'enfer ou des astres Peu importe, peu importe
Je brule pour ces cieux Que je n'ai jamais vus
Quand j'ai perdu la fierte Qui faisait croire a mon genie Quand j'ai connu la verite J'ai cru que c'etait une amie Et quand je l'ai comprise j'en etais deja degoute
O! Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir parfois pleure Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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