Sortez des cachots infâmes de votre tragique destinée
La mer sombre dans ses profondeurs, Et nous on tombe avec lenteur Comme tous les spectres je ne croirai pas Je ne boirai pas, de ce calice C'est la prière vers de vils affectes Au-delà des murs, des tombes, la vie et son point final Sans visage, triste, puissant Nous avons perdu Pensant qu'on pourrait s'échapper
Pardonnez moi et entendez la parabole Délectez vous de ces fruits rances Vous vous plaignez de votre souffrance. Je m'exécute pour une minorité Tenter de guérir n'est pas un tort Je diabolise vos trésors
La nature conjure sans peine les élans d'évasion, la clé de la liberté Je les implore devant le pendule d'argile Détraqué, et dans l'état d'esprit d'asile Gardez-moi dans vos rêves
L'homme m'a tué, le monstre m'a ressuscité En suivant les méandres des contrées Empoisonnéees Laissez tomber, vous seriez mort aussi, si vous tentiez de m'aider
Désormais je n'aurais plus peur de moi. L'unique bénéfice de ces tortures Désormais je n'aurais plus peur de moi.
La mer sombre dans ses profondeurs Y-a-t-il un moyen de briser ce silence ? Le blasphème est immense !
La nature conjure sans peine les élans d'évasion, la clé de la liberté Je les implore devant le pendule d'argile Détraqué, et dans l'état d'esprit d'asile Le démiurge conjure sans peine les élans d'évasion, la clé de la liberté On les implore devant le pendule d'argile Détraqué, et dans l'état d'esprit d'asile
En pensant à la mort Dans l'état d'esprit d'asile En pensant à la mort Gardez-moi dans vos rêvesTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.