Quelque chose est arrivé que nous ne sommes plus libres de défaire. Est-ce qu'il fera toujours aussi noir, désormais, même le jour?
Attends, laisse-moi dire adieu à cette légereté sans têche qui fut la mierne. laisse-moi dire adieu à ma jeunesse. Il y a des soirs, des soirs de
Corinthe et d'Athens. Flein de ??? et d'odeurs qui ne m'appartiendront plus jamais. Des matins pleins d'espoir aussi. Alors adieu, adieu, adieu.
Écoute! . . . Écoute le bruit de leurs ailes. Elles nous entourent, Oreste. Ce sont les Érinnyes, les déesses du remords.
Viens! Conduis-moi au sanctuaire d'Apollon; nous y passerons la nuit, à l'abri des hommes et des Érinnyes.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.