Je vois ta beauté quitter ton corps froid Amer Milan Les sillons creusés par les vers en toi S'accumulent autant Un flirt avec la nostalgie immense Celle qui te tend la main Et qui t'empoigne soudain, qui t'abaisse comme un chien Une fois cloué au sol, qui te crache au visage
Après le noir à brouiller, le néant Amer Milan La ruelle sombre te camoufle quand tu crois Croiser tous ces gens Si passer l'éponge ça ne te suffit pas L'espace à combler le sera autant Et même si t'as mille acres, je crierai pas miracle Tu finiras au ciel, morte depuis longtempsTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.