Oh, Ava, je sais, tu sors encore ce soir Ses bras t’attendront dans le noir, plus forts Qu’hier au bar
Oh, Ava, tu crées l’envie sur ton passage Tu hurles sous tes airs de Paname, Madame Tu aimes sans âme
Mais moi je te sens Trembler lorsqu’il prend sans gêne son temps Pour dire ce qu’il aime Chez les autres qui paradent sur ta peine
Oh, l’aime si tu veux, mais son rire laisse une trace Et, des blessures, tu peux renaître si tu t’arraches De ses mots, de promesses, de mensonges qui blessent Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava
Oh, Ava, tu relis ces mots sans relâche De lettres de trois phrases qui t’arrachent ton âge Tu sais qu’il est lâche
Mais Ava, il ne te prend que pour une naïve Quand il t’embrasse, tu reprends vie Mais lui il loue son lit
Mais moi je te sens Trembler lorsqu’il prend sans gêne son temps Pour dire ce qu’il aime Chez les autres qui paradent sur ta peine
Oh, l’aime si tu veux, mais son rire laisse une trace Et, des blessures, tu peux renaître si tu t’arraches De ses mots, de promesses, de mensonges qui blessent Mais ne sors pas si tu souffres, mon AvaTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.