Les gens m'ont dit que Paris était si magique Que les coeurs les plus romantiques Se laissent dérober par sa beauté, tu sais Moi j'ai dû voir ce côté certes plus tragique Où des pauvres gens survivent sans fric Sur le trottoirs avec bébés et poussettes
Dans l'envers du décor Le dos de la carte postale Trois millions de fourmis qui courent Au sein de la capitale Les lumières de la ville Te racontent son histoire Elles nous apportent un peu d'espoir
Je vous embrasse fort depuis Paname Le métro chante, le ciel est gris A la couleur du macadam C'est pas vraiment ce qu'on m'avait dit Je vous embrasse fort depuis Paname Les gens heureux ne sont pas d'ici Chacun cherche sa place Dans les rues de Paname
On m'a décrit Paris Comme un joli poème A Montmartre on chante la bohème Les amoureux s'embrassent sous la tour Eiffel Moi j'ai pris le temps de voir en marchant dans la ville Des humains marqués par la vie L'espoir qui dans les yeux de certains décède
Tout l'envers du décor Le dos de la carte postale Trois millions de fourmis qui courent Au sein de la capitale Les lumières de la ville Te racontent son histoire Elles nous apportent un peu d'espoir
Je vous embrasse fort depuis Paname Le métro chante, le ciel est gris A la couleur du macadam C'est pas vraiment ce qu'on m'avait dit Je vous embrasse fort depuis Paname Les gens heureux ne sont pas d'ici Chacun cherche sa place Dans les rues de Paname Je me balade à Paname Je me balade à Paname Je me balade à Paname
Je vous embrasse fort depuis Paname Le métro chante, le ciel est gris A la couleur du macadam C'est pas vraiment ce qu'on m'avait dit Je vous embrasse fort depuis Paname Les gens heureux ne sont pas d'ici Chacun cherche sa place Dans les rues de Paname Dans les rues de Paname Chacun cherche sa place Dans les rues de PanameTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.