J'en suis à mon septembre, elle en est à son mai Et je l'aime Mon charbon m'interdit sa luminosité Et je l'aime Elle est belle à pâlir et moi vous me voyez Et je l'aime Ses yeux sont un matin, la nuit m'a dévoyé Et je l'aime, et je l'aime
Et ma cendre à l'envers reconstitue la flamme Et je l'aime Et mon cœur, vieux tocard, le voilà qui ramdame Et je l'aime Et j'entends une voix me crier : "C'est ta femme, ta femme" ...
L'humain je le crachais, elle est la fleur humaine Et je l'aime Je savais me haïr, elle exténue la haine Et je l'aime Je pelotais la mort, son ventre tend la vie Et je l'aime Je m'armais de mes larmes, désarmée elle rit Et je l'aime, et je l'aime
Et je cours dans les rues bondissant hors des drames Et je l'aime Une brise inconnue me peuple d'oriflammes Et je l'aime Et j'entends cette voix affamée : "C'est ta femme, ta femme" ...
Rendez vous à huit heures, elle arrive à huit heures Toc, toc, toc En moi l'ancien Satan attend qu'elle me leurre... Pas du tout Je lui dis comme on dit, je lui dis mes problèmes Et je l'aime Je me peins tout bossu, roué sur la vie blême Je te aime, je te aime Je te aime depuis que je t'ai vue passer Je te aime Toi le bel avenir veux tu de mon passé Je te aime Mais je suis tout petit, ô maman, ô madame Je vous aime Mon âme tonne en moi que vous êtes ma femme
Que vous êtes ma femme Elle mêmeTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.