J'aime ces longues demoiselles Aux minces doigts, au petit cul Perché à la cime invaincue De leurs jambes de sauterelles
Devant leur pâle flamme frêle Je sens mon charbon rougeoyer Et mon sous marin déployer Son périscope droit sur elles.
Fusées illuminant mes gouffres Leur miel poivré brûle mes yeux Les anges laissent derrière eux Hélas, un sillage de soufre
L'une d'entre elles, dernière en date
Me croisa, allée des Brouillards Ses cheveux sur son ciré noir Avaient une blondeur de dattes
Sur son cahier de feuilles mortes Novembre écrivait sa chanson Elle avait ce côté garçon Qui, chez les filles, me transporte
Ah ! posséder les chromosomes Qui forgent les bourreaux des cœurs ! Je lui eus dit : " Ma chère sœur Je vous propose un petit somme
Dans ma chambre ou mieux dans la vôtre, Dans votre lit aux plis bleutés Vous serez dans mon cou blottie Comme le ciel dans un apôtre "
Mais retenu par un garrot J'ai laissé fuir la jouvencelle Alors peut être qu'elle appelle Son nounours borgne Nougaro
À part ce style de gonzesses, J'ai un faible pour les négresses Au dos luisant comme un boa, Etc., etc. Etc., etc.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.