Dans les corridors d’une corrida Un matador d’or. Debout, on dirait qu’il dort Appuyé à la palanquère, Il se sent très las On voit qu’il n’est plus là Le voilà qui dérape Il pleure sous cape Et puis, tenez-vous bien Devant tous il éteint Son habit de lumière
Va devant les gradins Prend le taureau par les cornes Et dans la stupéfaction énorme Ils s’en vont tous les deux Les yeux dans les yeux Et pas peu fiers d’eux Couler des jours heureux En de paisibles plaines Loin des haleines madrilènes. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |