Ces petits luxes providentiels N'ont plus l'goût de nos amours... Bien chambrés
Du grand hôtel vide à la rue, il n'y a qu'un pas La foule qui me mène... à toi a tout l'air, l'air d'un faux pas Le Raphaël seul... a du vernis quand je balance Entre deux belles, entre deux belles
Le superflu c'est... l'amour me comprends-tu ? Ton indifférence est le cœur de ma folie Et ton allure singulière a la distance et la beauté Des photos... glacées que j'aime...
Plus tu m'échappes, plus tu me plais Aux jeux de l'amour, on s'est bien ruinés Tes seins, ta peau douce, tes yeux mouillés Ta jeunesse désormais me laissent sans regrets
Le superflu c'est... l'amour, le comprends-tu ? Ton indifférence me va droit au cœur Tes accents superficiels ont la distance et la beauté Désespérés... des rares instants perdus ensemble C'est dommage rien ne va plus Entre nous rien ne va plus Ces petits luxes providentiels N'ont plus l'goût de nos amours Bien chambrés
Plus tu m'échappes, plus ça me frappe Je retombe amoureux, là presqu'aussi sec Je te dis reste, j'retourne ma veste Nous voilà... encore une fois... dans de beaux draps
Plus tu m'échappes... plus tu m'plais Et c'est comme ça... que tu m'attrapes Non n'essaie pas de comprendre Ce qui t'échappe, c'est toujours moi
Ces petits luxes providentiels Ont le dégoût de nos amours Même chambrés Ces petits luxes providentiels Font leurs adieux au Raphaël En privé...Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.