Ciel et vent sinistres, Seuls compagnons, De cette campagne depuis d’innombrables saisons. Ils se font entendre par monts et par vaux, Dans l’horizon lointain l’on distingue leurs sourds échos.
Arrivant tel d’impitoyables conquérants, Avides et balayant leur chemin lentement, Jusqu’aux entrailles des territoires isolés, Ce révoltant fléau ne cesse d’avancer.
La grandissante inimitié inspire la cruauté, Qui ne cesse de couler sur les deux rives glacées.
Arrivant tel d’impitoyables conquérants, Avides et balayant leur chemin lentement, Jusqu’aux entrailles des territoires isolés, Ce révoltant fléau ne cesse d’avancer.
Brandissant leurs fiers étendards, Qui s’agitent par de grands vents, Massacrant les vains vieillards…, L’Ancien laisse les derniers commandements…
Le mal continue d’envahir et bientôt traverse l’Alèir, Et tous les ponts l’on fit périr, pour ne pas faillir.
La grandissante inimitié inspire la cruauté, Qui ne cesse de couler sur les deux rives glacées, L’angoisse des gens ne fait que s’aggraver, Vieillards, femmes et enfants pensent à se réfugier, Sur les hauteurs dans cet oppidum, Lieu à cette heure où souffle un vent de détresse.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.