Les Heduens surmenés massacrent les citoyens romains, Le soulèvement de toutes les cités, Voilà ce que César craint, Ce qu’il cherche à éviter, A ne jamais démontrer, La loyauté sur laquelle il s’est appuyé, S’est dissipé.
Dans un néant de pensées d’homme égaré, César croit avoir trouvé un moyen de l’attaquer, Cette immense colline dont il avait tant rêvé, Il s’est juré de voir les Gaulois agenouillés.
Par une journée maussade, Il visite les travaux de petit camp, Il aperçoit sur les hauteurs un territoire vacant, Tertre auparavant occupé par des Gaulois puissants… Désormais balayé par des vents.
Par une journée maussade, Il visite les travaux de petit camp, Il aperçoit sur les hauteurs un territoire vacant.
Au milieu d’une nuit, De nombreux escadrons répandent leurs cris, En battant les campagnes, En se déplaçant bruyamment…
Alertant l’ennemi, Que tous ceux qui s’opposent seront anéantis, Une autre ruse pour éloigner les Gaulois de leur camp.
Les troupes Gauloises passent de l’autre côté, Pendant que les Romains, Leurs étendards cachés, Passent du grand camp vers le petit campement, Avec cet espoir de gloire qu’ils ont constamment.
Allons marchons vers ces collines! Craignez ces vents impétueux! Qui vous mèneront vers (eux) Allons marchons vers ces collines! Craignez ces vents impétueux! Qui vous mèneront vers (eux)
Allons marchons vers ces collines! Craignez ces vents impétueux! Qui vous mèneront vers (eux) Allons marchons vers ces collines! Craignez ces vents impétueux! Qui vous mèneront vers (eux)
Clair et fort est le son des trompettes, Mais la Xe légion ne bat pas retraite, Loin, trop loin derrière ce petit vallon, Ils n’entendent pas et marchent vers le front.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.