Rien n´est vraiment perdu tout entier dans ma vie Aucun été ne sombre à jamais dans l´oubli Mon cœur sait rappeler tant d´oiseaux par leur nom Mes vergers ne sont pas livrés à l´abandon
Dans le bois automnal où brûle un mur de feuilles Je suis bu par l´œil noir et rond de l´écureuil Opticien de l´amour, géomètre des larmes Quel monde naît de moi, dans son berceau de cils
La pierre est l´œil fermé de la terre immobile Dans sa prison nocturne où son cristal s´accroît L´éclair de mon regard la revêt de ses armes
{x2:} A chaque essor du jour mes paupières s´envolent Les grives font leur nid dans mes moindres paroles Une étoile palpite au bout de mes dix doigts {x2}
La pierre est l´œil fermé de la terre immobile Dans sa prison nocturne où son cristal s´accroît L´éclair de mon regard la revêt de ses armes
A chaque essor du jour mes paupières s´envolent Les grives font leur nid dans mes moindres paroles Une étoile palpite au bout de mes dix doigts {x2}Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.