C/Cairn/L'absence d'un corps - l'errance d'une âme
La démence d'une vie qui des limbes de l'outrance ressurgit Cette violence qui meurtri et scinde la puissance de mon esprit Afin que dansent ses débris, qui, d'humble essence, ont péri flétris Une ligne de vie dont l'obsolescence d'un érudit désormais rance Rempli d'absence mon âme pétrie des carences du déni Alors que la déviance et l'envie se substituent à l'obéissance La dense folie dans laquelle je m'élance Et ces séquelles qui m'enlacent et me lancent Cette déesse délaissée et lésée par mon cœur détesté Blessée par l'ivresse de mes pensées Et blessée par mes erreurs diverses Une ligne de vie dont l'obsolescence d'un érudit désormais rance Rempli d'absence mon âme pétrie des carences du déni Le bonheur muré, par une sagesse muée en horreur, N’a fait que reporter l'heure qui m'a apporté l’allégresse déportée, Et qui m'embrasse enfin puis m'embrase de la chaleur de son sein.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.