C’est à toi que je parle la femme à l’éventail, A celle dont j’ai peur quand elle essuie mes pleurs A celle que je regarde toucher mon front de ses mains sales
Je compte tes rousseurs maladives, crève-coeur C’est ici que je place mes mille et une angoisses Vois-tu je te décalque, entrant dans tes détails
Je crains tes mains métisses, je fonce et je tapisse, Les murs de blanc de chaux, tu déteins sur ma peau
Ta main est la maîtresse, comment me reconnaître, Je te peins au couteau, te dépose en tableau Quand c’est moi qui dégaine, je ne t’ai qu’en écho
C’est à toi que je parle la femme à l’éventail, A celle dont j’ai peur quand elle essuie ma sueur A celle que je regarde toucher mon front de ses mains sales
Je vois tes mains métisses, je fonce et je tapisse, Les murs de blanc de chaux, tu déteins sur ma peau Je crains tes mains métisses, lorsque je fonce, je tapisse, Les murs de blanc de chaux, tu déteins sur ma peau
C’est à toi que je parle la femme à l’éventail, A celle dont j’ai peur quand elle essuie mes pleurs A celle que je regarde toucher mon front de ses mains sales
Je compte tes rousseurs maladives, crève-coeur C’est ici que je place mes mille et une angoisses Veux-tu que je te calque ou veux-tu que je mitraille?Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.