C’est en mille neuf cent quatre-vingt-dix, Que j’ai rencontré la tendre Alice
Je voulais te dire que je rêve encore Je voulais te dire que je vois encore tes grands yeux noirs Qui se durcissent pour qui dévore
Même avec quelques cheveux gris, De temps à autres, éblouie
Je sais que, toujours, tu rêves encore Je sais bien qu’un jour on verra encore courber le dos
De ceux qui veulent nous faire la peau Dansent les heures et tout autour, Mon ombre folle me fout la frousse
Je sais que, toujours, tu rêves encore Je sais que, toujours, tu choisiras la course folle Qui nous fait vivre et nous dévore
Je voulais te dire que je rêve encore Je voulais te dire que je choisirai la course folle Qui nous fait vivre et nous dévore
Je voulais te dire que je rêve encore Je voulais te dire que je rêve encoreTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.