Quand tu viens me voir, C’est fou c’que t’as l’art et la manière, Juste de poser ton regard De les dévorer tout entières
Ces heures qui passent, Et que je voudrais fuir, Avant qu’elles ne se tassent, Je les sens m’engourdir
Je te vois t’affairer, prise dans tes jupes de poupées Et gangrène en dedans, Une rage effrénée de gamine ébouriffée Qui fait bouillir les sangs
Tu veux qu’elles se rattrapent et ne plus les trahir Ces heures qui se tassent dans un dernier soupir
Quand tu viens me voir, C’est fou c’que t’ as l’art et la manière Je me souviens de toi Juste de poser ton regard De les dévorer tout entières de toi
Est-il mort ou déchu cet ange disparu qui donne l’élan Est-il mort ou déchu cet ange disparu qui te fascinait tant,
Celui que l’on regarde et que l’on veut retenir A qui l’on parle et que l’on voudrait voir nous suivre Celui que l’on regarde et que l’on veut retenir A qui l’on parle et que l’on voudrait voir nous suivreTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.