J’me voyais plus dans les miroirs depuis longtemps Car la beauté du désespoir ça va un temps Vagabonder c'est monotone et on s’en lasse De nettoyer à l’acétone les plus belles traces
J’me voyais plus traîner des sacs pendant des mois Car l'errance tout seul ça détraque c’qui reste de soi Sous la faïence y’a les blessures celles qui nous rongent Qui nous lancent des S.O.S pour qu’on y songe
À qui je pense quand le rideau s'abaisse Pour que j’espère encore, pour que j’attende À qui je parle une pieuvre au fond du ventre De la nature des sens, pour qu’il m’entende
J’me voyais plus ou moins monter là sur les planches Entraînant tous mes souvenirs dans la cadence Oh ma Sophie j’ai eu la chance de voir dans le ciel Une étoile pour que j’avance loin sous son aile
À qui je pense quand le rideau s'abaisse Pour que j’espère encore, pour que j’attende À qui je parle une pieuvre au fond du ventre De la nature des sens, pour qu’il m’entende…
À qui je pense quand le rideau s'abaisse Pour que j’espère encore, pour que j’attende À qui je parle une pieuvre au fond du ventre De la nature des sens, pour qu’il m’entende
À qui je pense quand le rideau s'abaisse Pour que j’espère encore, pour que j’attende À qui je parle une pieuvre au fond du ventre De la nature des sens, pour qu’il m’entende
Pour qu’il m’entende
J’me voyais plus dans les miroirs depuis longtemps Car la beauté du désespoir ça va un temps Et si jamais j'trouve un abri, ou une branche J’me mettrai là dans mon nid, sans résistanceTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.