On traînait le soir Un peu trop tard Assis sur des rambardes à fumer en cachette des cigarettes allumées à la chaine et S'raconter des cracks Un peu d'arnaque Juste bomber le torse et Puis parler plus fort Faire les cadors Quand passent les groupes de filles et
Au moindre souffle d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moins courant d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Et sous nos baskets La route muette Traçait chaque jour le même chemin Nos sourires fragiles Pas bien virils Ne nous laissaient pas une chance Les désirs déçus amours perdus Jalonnaient nos enfances et Sous nos airs blasés l'air de pas y toucher On chavirait en silence
Au moindre souffle d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moins courant d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moindre souffle d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moins courant d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moindre souffle d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaire
Au moins courant d'air Nos yeux s'engouffraient sous les jupes légères Les défilés amers Avaient vraiment tout pour plaireTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.