Quand, la lueur douce et pale du matin Lentement sur nous déteind Quand le monde se mouille et
Quand, les contours, les couleurs, les embruns Nous échappent et ne font qu'un On se perd dans les brumes
Quand l'horizon se pâme Ceux sont nos âmes qui flânent Quand l'horizon se pâme Ceux sont nos âmes qui flânent Et qui s'affolent Et qui s'affolent Dans les vapeurs qui fânent Ceux sont nos corps qui planent Et qui décollent
Là si fébriles et encore endormi Un réveil sans faire de bruit Cherchant l'ombre des arbres On se caresse, se retrouve, s'engourdit Dans le sable comme dans un lit Quand l'aube est si tendre
Quand l'horizon se pâme Ceux sont nos âmes qui flânent Et qui s'affolent Et qui s'affolent Dans les vapeurs qui fânent Ceux sont nos corps qui planent Et qui décollent
Seuls, dans un nuage, d'une aube sans fin Où nous mènent tous les chemins On se perd là si bien Seuls, dans un nuage, d'une aube sans fin Où nous mènent tous les chemins On se perd là si bien ...qui s'affolent
Quand l'horizon se pâme Ceux sont nos âmes qui flânent Et qui s'affolent Dans les vapeurs qui fânent Ceux sont nos corps qui planent Et qui décollentTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.