Une lueur rouge apparaît lentement, Au-delà de cette forêt murée. Après une forte inspiration, La cendre blanche disparaît, Envahit mon corps d'une lente descente, Détruisant un peu plus mon esprit. Je veux vomir mes tripes sur votre monde misérable. Tas de chairs en putréfaction, Êtres futiles, dépourvus d’âme. Cette nuit a coulé si vite, Mes bras en portent les traces. Je vais mourir encore un autre jour parmi vous. Combien de temps cela va-t-il encore durer ? Je ne suis qu’à un coup de lame de ce sombre royaume, Cette souffrance est tellement douce, Mon âme torturée m’implore de continuer à la nourrir, Avant de vous la recracher au visage.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.