Une vie réduite en cendres Ne l’était-elle pas au commencement ? Une âme privée de lumière Vide d’émotion humaine Vider cette terre de ses êtres L’horizon est tellement noir Mes yeux sont habitués à cette obscurité Le cœur froid Rempli de mal Ma fin est mon maître Que la vie est belle quand le sang se répand Ce vaste cercueil attend mon dernier souffle Douces voix dans ma tête Me suppliant de les libérer Je suis leurs fardeaux Qu’y aura-t-il après cette sombre éternité ? Un silence oppressant… Un vaste néant Seules mes veines tranchées me l’apprendront Cette chaleur glaciale Dernier regard sur ce que je n’ai jamais su voir... Une vie réduite en cendresTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.