J'habite le néant d'où la lumière fuit, Au delà des simples rêves et du bruit. Sous les décombres d'une Terre esseulée Par les caprices de l'homme entêté.
Un rêveur voyageur qui noie ses douleurs, Le dos courbé aux allures feotales. Ma torpeur. Je souhaite dans l'harmonie mourir de mes vastes illusions. M'enchainer d'émotions, oubliez toutes raisons.
Puis s'estompent les visions, La chair domine et reprend possession. La lumière dissipent mes ombres, Mais je vois sous son éclat La perversion des êtres en abominations. Ils se piétinent et renient leurs propres frères, Mais où sont mes mélancolies ternies par leur lumière?
Je vis comme les morts qui parcourent les tombes, Hagard, comme un fantôme dans la pénombre. Hantées par les brumes qui se sont envolées, Mes pensées chavirent entres les mondes.
Aux temps nocturnes et ses esprits libres, pour se blanchir de leurs impuretés, Et pour qui l'immondice rayonne, Gloire aux ténèbres.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.