Tu étais la presence enfantine de mes reves Tes blanches mains venaient sepanouir sur mon front J'allais souvent regarder a la fenetre Comme si le bonheur devait entrer par la
J'ai vu par un matin semblable a tous les autres Le soleil agiter les brins de mimosa Des fleurs d'argent descendaient la riviere Les enfants avaient mis des bouquets sur le toit
Aussitot que je vis tes yeux je te voulu Soumise mes deux mains tremblantes a mes lèvres Capable de reprendre a la nuit son butin De fleurs noires et de veneneuses caresses
Tout le jour je vis bleu, je ne pensais qu'a toi Tu ruisselais déjà le long de ma poitrine Sans rien dire je pris rendez vous dans le ciel Avec toi pour des promenades éternellesTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.