Mon ascension semble interminable. J’observe, impuissant, ma peau fondre et ma chair voltiger, ne laissant derrière moi qu’un sillon pourpre.
Mes os se détachent de moi avec fracas ; mes poumons se broient, pendant qu’autour de moi la chaleur devient un froid sidéral.
Tandis que mes cendres pleuvent sur la Terre, et se mêlent aux vastes océans et aux mers,
je ne vois plus que des points lointains ; étoiles inatteignables. Me voilà, libre. Me voilà. Seul.
Je flotte sans fin.
Ma vie n’est devenue qu’un unique cauchemar.
Les rêveries me sont devenues des échappatoires ; Mais même dans mes fantasmes, la mort m’est une délivrance. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
|