L'homme est mort. Mais courbé, il marche ; Insoucieux, sur ses épaules il porte la crasse des siècles, puanteur de son espèce.
Tristesse, colère et solitude, comme unique gain. Tristesse, colère et solitude, car ici tout est vain. L'homme est mort, il n'est rien.
La mort, dernière lueur, à ses cotés lui montre le chemin des exaltés. Elle qui fait se prosterner la vie, guidera ses pas vers la nuit. Enfin retentit sa dernière heure. L’obscurité sera sa dernière demeure. Désormais, plus rien ne reste, hormis le néant. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |