Mon regard se perd dans le vide de l’abîme où se perdent les âmes vidées de leur estime. Une part de moi à envie d’y sombrer, l’autre craint la chute.
Avant, je contemplais de loin le néant. Maintenant, nous ne faisons plus qu’un. Hurlant du fond de l’abysse. Aucun son ne parvient à la surface.
Je n’arrête plus de tomber, jamais je ne pourrais me relever. Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |