Les nuits de pleine lune, une forme livide, Rôde en ces lieux maudits, en chantant tristement Elle cause la terreur de tous les habitants, Et leur fascination, car les cachots humides De son sombre château, recèlent un trésor Et quiconque s'en approche rencontrera la mort
A la tombée du jour, un homme téméraire Passe le pont-levis et contemple l'enceinte, Guidé par d'envoûtantes mélopées centenaires Qui semblaient autrefois pareilles à une plainte Une frêle silhouette surgit de la muraille, Elle ne marche pas et glisse sur les dalles Portant en diadème une couronne de corail, Et tenant dans sa main un jeune rameau d'aulne, Elle offre le trésor mais une fois seulement Quand l'homme reviendra, elle ne sera plus làTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.