Fléau français
Né en 1671 en pays français Il partira très tôt vers les terres colonisées Telle une âme souillée s'épuisant aux plantations Il sera mû par un désir d'aventure et de galion Des années durant parcourant les mers François se fera connaître par sa folie meurtrière
Tombent les têtes, coule le sang Ce fléau sans gêne les vie il les prend Tombent les têtes des corps qu'il pend Ce fléau français, les vie il les prend
Devenu riche par les armes et la peur Le fléau continua so périple Se donnant une image de poufandeur d'ibériques On dit qu'il dévora, d'un homme vivant, le coeur.
Tombent les têtes, coule le sang Ce fléau sans gêne les vie il les prend Tombent les têtes des corps que je pends Ce fléau, ce fléau français
La fin de ce destin sera aussi funeste que tragique Tombant entre les mains d'un peuple anthropophagique Le fléau sera occis, cuit puis dévoré Une fin somme toute logique pour François l'Olonnais
Comment peut-on devenir si perfide et mauvais? Comment une âme innocente peut-elle être à ce point souillée? L'Homme et ses mystères, un obscur basculement... L'Homme et ses chimères faites de vice et de sang... Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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