Aymérigot Marchès, tout droit sorti Du noble chasteau de Beaudéduit Abandonnant ses possessions, en faisant fi Au crochet de Jean le Bon, compagnon quoi qu'indécis.
Issu de noble maison, loin des hères délabrés Défiant de par son arrogance, les preux chevaliers Cruel mercenaire à la tête d'une bande de routiers, Traversant la France, en d'affreuses et amples percées
Dévastant autant que possible la Haute Auvergne En ses plus majestueux fiefs, imposant son règne. Douleurs immenses, les paysages brumeux, saignent Etranges folies, que tous du royaume, craignent
Plus tard, introduit au Duc de Lancastre, Au-devant de lui, pillant, rasant, il encastre Montsalvy, Carlat villages devenus désastres Ceux percés de son fer, dansent avec les astres
Toujours plus féroce, au contact d'aînés malfaisants Finira par s'armer pour son compte au fil du temps Rébellion et désobéissance, délogé contre argent Son déclin prochain, approchant sonnant et trébuchant
Lorgnant de nouveau après moult pérégrinations, Vers les ruines de Charlus, où le guettent les espions Se croyant seigneur, affublé de toutes les tentations Fut pris au terme de quatre ans, repéré en son bastion
Trouvant refuge chez le cousin Jean de Tournemire Le livrant au duc de Berry, contre écus l'envoie croupir Jugé au Châtelet de Paris, en de derniers râles expire Car c'est finalement décapité et démembré qu'il va finirTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.