Ou sont ces astres pétillants, modeleurs du temps Moi qui, insomniaque, contemplais leur ardeur Je ne perçois plus leurs feux qu'à travers les souvenirs D'un tableau poussiéreux dépeignant des lueurs
Alors, il me reste la contemplation des vastes espaces Parsemés de graines gelées et solitaires Des points de lumière à la dérive dans l'infini Loins des cœurs et de l'avenir
Par delà l'équinoxe, se dresse le même vide à présent Nos masses infimes stagnent parmi les monstres C'est un charnier des illusions
Ici naissent toutes les nuances
Peut-être qu'un jour, apercevrais-je la vérité Dissimulée par le réel d'un vaste voile ténébreux Peut-être poserais-je les jalons vers un éther Là ou les croyants verseront des larmes depuis notre terre Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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