Creuse la terre et fouille la glaise Toi, l'animal qui crève de ne rien voir Où l'entropie croît, ton espoir ne sombre jamais Dépèce les autres, la race perd ses espoirs
Au cœur de ses nuits, surgit un idéal De la raison à la survie, car elle ne tient qu'à un fil Je me hâte de penser car je ne peux panser Je veux qu'elle vive là où je ne saurai la guider
Aurais-je du la laisser fuir, pour toujours ? Qu'elle ne me haïsse pas comme je les hais D'un dessein de victime de la postérité Je croyais t'offrir un horizon pour la modeler
Mes mains tremblent et perdent leur poigne Cet air sale, humide devient irrespirable Chaque morceau d'épiderme se fige et se glace Jusqu'à peindre mon visage d'une sombre teinte écarlate
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