Sur le riant coteau la bergère s'en va Garder son blanc troupeau à travers la bruyère, Sur le riant coteau, la bergère s'en va Nul souci dans son coeur, pourquoi chercher plus loin le bonheur
Plus que les rues de Paris, elle aime ses bruyères Car c'est la qu'elle a grandi au pied des coteaux jolis Quand la bruyère est fleurie au flanc des Monédiéres Qu'ils sont loin les soucis, qu'ont les gens de Paris. 2. Par les beaux matins clairs, elle voit au lointain Des vallons, des prés verts, et des étangs limpides. Par les beaux matins clairs, elle voit au lointain Sur toutes les hauteurs les bruyères aux douces couleurs.
Plus que les rues de Paris, elle aime ses bruyères Car c'est la qu'elle a grandi au pied des coteaux jolis Quand la bruyère est fleurie au flanc des Monédiéres Qu'ils sont loin les soucis, qu'ont les gens de Paris. 3 Elle chante à mi-voix en gardant son troupeau De vieux airs d'autrefois, aux naïves paroles. Elle chante à mi-voix, en gardant son troupeau Les jolis airs anciens où vit tout le pays corrézien.
Plus que les rues de Paris, elle aime ses bruyères Car c'est la qu'elle a grandi au pied des coteaux jolis Quand la bruyère est fleurie au flanc des Monédiéres Qu'ils sont loin les soucis, qu'ont les gens de Paris. 4 Quelques gars du pays, un jour l'épousera Et tous deux dans la vie iront pleins de confiance. Quelque gars du pays, un jour l'épousera, Oh, le calme bonheur, au milieu des bruyères en fleur.
Plus que les rues de Paris, elle aime ses bruyères Car c'est la qu'elle a grandi au pied des coteaux jolis Quand la bruyère est fleurie au flanc des Monédiéres Qu'ils sont loin les soucis, qu'ont les gens de Paris.Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.