Deux corps latents, étendus À jamais dévorés par ces poisons sans profondeur Restant là, ne sachant même pas éxister Ètendus dan l'orge, ce dernier ne voulant qu'atteindre le soleil
Deux enfants attendant simplement que le temps passe Qui attendent que les jours s'éternisent Laissant le vent tenter de balayer ce mal Déjà bien enfoui dans leur mémoires
Deux corps souriant, qui ne font que respie et pleurer Des pleurs intermittents, tantôt abondant tantôt si faible Les larmes sèchant instantanément sur nos joues
Voudrions-nous reprendre place? Nous lever et continuer? Le pourrions-nous? Il est bien trop tard; Trop de temps s'est éclipsé déjà
Pourrais-tu me tenir la main pour passer au travers de cette époque? Ton absence me fais si mal, regrettes-tu la mienne? Trop pur pour exister, tu es resté dans l'ombre Et moi seul dans la lumière aveuglante J'attendrai que tout le tempsse soit écoulé Et que dans les champs nos deux corpsse retrouvent Mon frère, ensemble nous pourrons enfin pleurerTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.