[Víctor Hugo Morales:] "Ahí la tiene Maradona, lo marcan dos, pisa la pelota Maradona, arranca por la derecha el genio de fútbol mundial, y deja el tercero ¡y va a tocar para Burruchaga! Siempre Maradona..." ¡Genio! ¡Genio! ¡Genio! Ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta... ¡Goooooolll! ¡Goooooolll! ¡Quiero llorar! ¡Dios santo! ¡Viva el fútbol! ¡Golaazo! ¡Diegooooo! ¡Maradooona! ¡Es para llorar, perdóneme! Maradona, en una corrida memorable, en la jugada de todos los tiempos..."
Bonjour au monde, bonjour à l'homme J'me présente : j'suis le quartier au potentiel énorme J'avais douze ans quand la musique a défoncé ma porte Elle m'a kidnappé devant ma mère qui s'tenait la gorge Nhar Sheitan, non-stop Du rap dans le poste, l'école catastrophe, poète en Lacoste Dans le foot et l'vol à l'étalage avant que m'accoste Akhenaton et Aïcha pour être dans la Cosca (A.L.O.N.) Vingt-six bougies soufflées en pleine favela On me croise tellement qu'on s'demande vraiment si je suis une star Juste le baromètre vocal de mon climat J'ai du bon comme du mauvais, des fois c'est la bombe, des fois c'est le coma Merci à ceux qui m'suivent C'est grave à vous qu'l'humeur du jour n'est pas encore définitive Mesdames et messieurs, c'est bien l'heure, j'vais leur cabrer sur la tête J'arrache le sac du rap à deux milles à l'heure
La musique, c'est énorme, le public, c'est énorme Faut le vivre, moi je vibre quand tu cries, c'est énorme Plan d'Aou, c'est énorme, Psykatra, c'est énorme Toutes ces villes, toutes ces îles qui nous suivent, c'est énorme Quand j'y pense, c'est énorme, j'viens des blocs, c'est énorme Pourquoi moi ? Je sais pas, mash'Allah, c'est énorme Internaciónal, papé, j'représente, c'est énorme, énorme, énorme, énorme, énorme
Si tu vois l'étoile sur le maillot T.S.E On est tellement énorme qu'ils veulent tous nous descendre en Ligue 2 Écoute, les Winners ils crient "Alonzo" Le 10 dans le dos, j'vais marquer de la main, c'est miraculeux Diego est en moi, j'aime trop le public pour faire un match nul En concert, j'mets mon cœur à nu Je rappe jusqu'à plus de voix, tu m'crois pas, viens me voir C'est le charme de la Psykatra, c'est énorme, c'est ce soir J'suis dans ta zone, j'mouille le maillot J'te représente, j'suis pas perso, j'freine pas au créneau Pour les frères et sœurs, j'monte au créneau A.L.O.N. el fenómeno, j'carbure aux foules oh Tous c'que vous m'donnez, le soutien qu'vous m'apportez S'est transformé en pare-brise blindé Mesdames et messieurs, c'est bien l'heure, on va leur cabrer sur la tête J'arrache le sac du rap à deux milles à l'heure
La musique, c'est énorme, le public, c'est énorme Faut le vivre, moi je vibre quand tu cries, c'est énorme Plan d'Aou, c'est énorme, Psykatra, c'est énorme Toutes ces villes, toutes ces îles qui nous suivent, c'est énorme Quand j'y pense, c'est énorme, j'viens des blocs, c'est énorme Pourquoi moi ? Je sais pas, mash'Allah, c'est énorme Internaciónal, papé, j'représente, c'est énorme, énorme, énorme, énorme, énorme
J'fais tout à l'instinct, 'sin, l'intestin en prend un coup avec la bringue Le destin schlingue, les médecins pensent que les jeunes, surtout les moins d'vingt Sont contrôlés positif comme Diego, l'argentin Le coup d'rein pour effacer la défaite, on tient Comorien dans le teint ou dans le grain, voisin Haut les mains, tous les jeunes lycéens C'est de la F1, Alonzo sans fin, pas d'virage que j'crains Même à jeun, on me traite de vaurien La merde, c'est L'Oréal, on le vaut bien Jaloux, vas-y, joue le maintien, je domine la Ligue 1 Entends les gradins, ils veulent qu'j'en mette un, même de la main Cousin, Plan d'Aou, Castellane, anti-tapin Nous on veut pas le trône parce qu'on est tarpins
La musique, c'est énorme, le public, c'est énorme Faut le vivre, moi je vibre quand tu cries, c'est énorme Plan d'Aou, c'est énorme, Psykatra, c'est énorme Toutes ces villes, toutes ces îles qui nous suivent, c'est énorme Quand j'y pense, c'est énorme, j'viens des blocs, c'est énorme Pourquoi moi ? Je sais pas, mash'Allah, c'est énorme Internaciónal, papé, j'représente, c'est énorme, énorme, énorme, énorme, énorme
[Víctor Hugo Morales:] "...barrilete cósmico, ¿de qué planeta viniste? Para dejar en el camino tanto inglés, para que el país sea un puño apretado, gritando por Argentina... Argentina dos, Inglaterra cero. ¡Diegol, Diegol, Diego Arrrrmando Maradona! Gracias Dios, por el fútbol, por Maradona, por estas lágrimas, por éste... Argentina dos..."Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.