Il a toujours ce regard éteint Du haut du ridicule trône Qu'il s'invente pour juger les siens Sur terre il y a lui et la faune Je sais qu'il aime accumuler Les derniers gadgets formidables. Pour avoir deux cents chaînes télé Il a vendu son âme au câble.
A force d'avoir toujours tout fait Il commence à se sentir seul. A force d'avoir toujours tout vu Il transforme sa vie en linceul. Si t'as quelque chose à donner Evite de croiser ce damné El'vé seul'ment à recevoir Un homme un requin, va savoir !
Le diable s'incarne parfois En ces gens friands de coups bas Qui dénoncent et puis qui se taisent Pour pouvoir manger à leur aise.
Un costume propre Une odeur forte A son image il s'abandonne Seul importe ce qu'il apporte A son image, à sa personne. Pouvoir accéder coûte que coûte En petit chef, rayon choucroute L'incarnation la plus banale Des derniers retranchements du mal.
Le diable s'incarne parfois En ces gens friands de coups bas Qui dénoncent et puis qui se taisent Pour pouvoir manger à leur aise. Le diable s'incarne souvent En ce genre de petites gens Qui, de minables petits pièges Accumulent certains privilèges. {x2} Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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