Sur les grands hommes on conte des blagues pures On dit qu'y n'parlent que de littérature Dans des greniers remplis de rats immondes Tout ça c'est des bobards pour duper l'monde
On bourre le crâne au pauvre couillon Moi j'en ai marre de vivre sans pognon Tous les oiseaux d'ici en Babylone Ne trouveraient pas cette pâture bonne
Vous pouvez m'croire, ne vous en déplaise Mais il n'est trésor que de vivre à son aise
On nous cite les coureurs à l'aventure Qui pour la vertu se font la vie dure Pour l'idéal ils souffrent le martyre Afin qu'leur concierge ait des trucs à lire
On s'les r'présente se couchant le soir Avec leur femme qui est un vrai repoussoir Et dont l'ambition tout juste ose prétendre A vivre avec cinq mille francs par an
Quels pauvres bougres, ne vous en déplaise Il n'est trésor que de vivre à son aise Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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