Et je reste des heures à regarder la mer Le cœur abasourdi, les pensées de travers Et je ne comprends rien à ce triste univers Tout est couleur de pluie tout est couleur d'hiver Je suis ce fier bateau qu'on vit un jour partir Et qui n'en finit plus de ne plus revenir La mer a ses amants qui s'enivrent de vent La mer a ses amants qui se grisent à ses fêtes
Qui ne me comprend pas ne comprend pas la mer Je n'aurai donc été en ce grand univers Qu'un de ces marins là qui vont en solitaires Et l'inutile cri d'une inutile fête
Et je reste des heures Et je reste des heures à regarder la merTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.