L'étendue de votre triomphe autoproclamé N'est que gloire acquise vainement Exclamez-vous tant que vous voudrez Sourdes sont mes oreilles pour vos risibles bêlements
Criez, saignez votre déshonneur malodorant Chiez tant que pourrez, chantez votre grandeur Ma certitude croisera, et par orages et grands vents Votre insidieuse vanité flétrira le reste de votre valeur
Oh mais ne serait-ce le son du fracas de vos os Qui, porté par un vent doucereux Pénétra mon oreille et charma le reste de votre valeur
Entendez les rires que cause votre émoi Devant les pitreries des rois du mois Rire aux éclats découvrant dents blanches, dents acérées Mort à la vanité, mort à la gloire du dernier-né
Oh mais n'était-ce pas votre cadavre gisant dans le caniveau de l'oubli Qui, le reconnus-je malgré l'état de décomposition M'enivra de voluptés pestilentiellesTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.