J'aurais aimé être voilé Pour qu'au moins Le temps d'un été, aveuglé Je n'aurais vu vos visages ulcérés Ni senti vos diarrhées
Voilé, quel bonheur! La réalité est un rêve Sans moral, sans horreurs Sang coagulé qui coule sans trêve
Dévoilé! Sens l'odeur de la haine Tu en as peur! Bien terré dans ton urbanité Ton voile bien serré T'excuse de ta médiocrité
J'aurais bien aimé avoir un dieu Adorer, me couvrir de pitié Et vivre... piétiné Mais je préfère mourir Me vider, finir!
Sans sang, sans sueur Et laisser le bonheur À ceux et celles Qui ne connaissent pas le pire Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |