Passant parfois devant un miroir Il m'arrive de m'apercevoir Ce n'est pas joli ce que j'y vois Hélas, c'est moi !
Aussi piteux – Ah, quelle aberration ! D'avoir cru faire une vraie passion Je ne suis pas beau J'ai tout d' Charlot
La femme que j'aimais, qui me charmait J'ai cru qu'elle existait et je comptais Qu'à moi seul je l'aurais Mais, hélas, ce n'était pas vrai
À ce rêve charmeur et bien trompeur J'avais commis l'erreur, pour mon malheur D'y croire avec ardeur Et je viens d'y laisser mon cœur
Pourtant le baiser Que sur ses lèvres j'avais cru poser En fermant les yeux J'en sens encore le goût délicieux, merveilleux
La femme que j'aimais, que j'adorais J'ai cru qu'elle vivait, que je l'avais Mais, hélas, ce n'était Qu'un rêve d'amour qui passaitTeksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa.