Ce serait vraiment terrible d'être prisonnier de son quotidien Tu rêves d'autres rives où l'on chantait, dansait, du soir au matin Tous ces faux départs qu'on remet sans y croire à demain Tous ces faux espoirs, ces regrets, qui nous vont si bien
Aller de ville en ville, loin des dociles suiveurs de destin Tu dis que c'est possible, qu'il sera trop tard pour changer demain Une aérogare, ses reflets, je n'en vois pas la fin Comme vole un baiser tu me prends la main Et tu me dis viens Tu me dis viens...
Hémisphère au sud En interlude Tu te dénudes Et ris de moi Sur la plage de Copacabana Copacabana
Perdu dans le noir, affolé, je te sens si loin Mais dans la nuit glacée, tu me prends la main Et tu me dis viens Tu me dis viens
Et le vent du sud En interlude Tu te dénudes Et ris de moi Sur la plage de Copacabana Copacabana Teksty umieszczone na naszej stronie są własnością wytwórni, wykonawców, osób mających do nich prawa. |
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